StJacques

StJacques

24 mai 2013

Journée de visite de Conques et demi-repos puisque nous ne parcourrons que 8kms (mais en grimpette puisqu'il faut ressortir du "trou" de Conques!)

Au passage nous ne manquons pas de poser avec notre ami Jacques:



 

 

Pour bien commencer la visite de Conques, nous montons au panorama qui permet d'embrasser l'ensemble du village. Bien sûr c'est l'abbaye Ste Foy qui attire le plus l'attention, mais aussi l'ensemble des toits de lauzes, et les vieilles maisons à colombages. 
Nous parcourons les rues pavées étroites et escarpées entre les vieilles maisons, tranquilles car les touristes ne sont pas encore là et les pèlerins sont partis au matin! 
Nous retournons à l'abbatiale, toujours aussi impressionnés par toues ces lignes verticales géantes qui tendent vers le ciel . Même d'en bas on en attraperait volontiers le vertige!
De tous côtés, de petites chapelles... en particulier celle dédiée à St Jacques, et la chapelle de l'Annonciation . 
Tout en haut  au milieu de la coupole nous apercevons un blason. Comment donc les constructeurs de cathédrales ont-ils donc pu réaliser tout cela aussi haut?
 
Mais il nous fait continuer le chemin tant que le temps est à peu près clément. Nous descendons au bas du village vers le vieux pont des pèlerins(fait de pavés à l'ancienne) qui franchit le Dourdou. 
Dépassant la chapelle St Roch (fermée), nous arrivons à la chapelle Ste Foy, ouverte!  Nous nous y arrêtons et nous pique-niquons.
Le chemin continue toujours aussi raide, du coup nous sommes vite sur le plateau, mais le temps s'assombrit, il tombe quelques gouttes, quelques grêlons, histoire d'obscurcir un panorama qui serait si beau sous le soleil! 
Nous arrivons à Noailhac , notre étape du jour!
 
Le soir, repas et soirée "hors normes", inoubliable avec 3 randonneuses et Frère Charles, moine pèlerin en même temps que trappiste, qui se définit lui-même comme un bricolo-rigolo, soirée de franche rigolade mêlée de discussion et réflexion. Je crois que Frère Charles a parfaitement atteint son but: nous réchauffer le cœur aussi bien que le corps, puisque c'est lui qui a allumé le feu dans la cheminée. Merci à toi, Charles!
 


24/05/2013
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