StJacques

Nous passons à côté de la chapelle St Michel, à l'extérieur deVillaturia (ermitage)

Au bout d'une petite heure, nous voilà à Lizarra/Estella, une jolie petite ville, avec une partie ancienne blottie derrière ses portes fortifiées... Comme souvent des marques religieuses s'affichent sur les maisons, mais les plus belles églises, imposantes voire colossales, sont désespérément closes, comme l'église du St Sépulcre ou San Pedro de la Rua.

Seule chapelle ouverte, "Rocamador" est un modèle de simplicité romane... avec tout le charme qui va avec!

Les ponts ont aussi leur importance depuis des siècles, comme celui d'Estella.

Nous franchissons Ayegui sans nous en apercevoir... c'est la banlieue d'Estella!

C'est ainsi que nous parvenons au monastère de Irache (à contre jour... On a même du mal à le voir de l'extérieur!)

Prévue pour le pèlerin, une fontaine à vin et eau nous attend près du monastère: seule l'eau coule, dommage!

Nous nous engageons ensuite dans une forêt (tantôt buis et autres buissons bas, tantôt pins) et c'est parti pour une grimpette panoramique, avec une vue magnifique sur une "barre" de falaise comme le Vercors, la Sierra de Andia, puis sur la montagne "Monjardin (894m ) couronnée d'un château ou d'une abbaye, sur le village de Villamayor de Monjardin (depuis flanc de Monte Luquin).

 

 

Nous nous arrêtons à Luquin pour pique-niquer et contempler de l'extérieur toujours  deux imposantes églises, dédiées à la Vierge et à St Martin. L'extérieur semble désormais influencé par l'architecture d'Afrique du Nord.

La balade continue à travers cet espace vallonné couvert de champs, de vigne et d'oliveraies, entrecoupé de quelques bosquets. Très vite se dessinent derrière de nouvelles montagnes que je n'identifie pas... et une église sur une colline, sans doute la basilique de St Gregorio. Tout cela est magnifique même si je n'ai pas de carte pour mettre un nom dessus!

 

Une dernière descente et nous voilà à Los Arcos, le terme de l'étape: pas de place au gîte que nous voulions... Finalement nous aurons les 2 dernières places au gîte municipal (qui en comporte 72!)... Une expérience, certes, mais que nous éviterons de renouveler! Le peuple espagnol jacasse de partout...on se sent un peu entassés!